Overlord : critique de Rémi

Publié le par Professeur L

Le comédien incarne Marsarès, le grand dieu de la guerre, puissant, manipulateur, dictateur, terrible, impitoyable ! 

 

En 1940, le monde change : Hitler et Pétain, les marionnettes du dieu de la guerre, décident de l'Armistice. Du coup, le dieu de la guerre qui veut continuer à jouer devient fou à lier. En effet, il avait lui-même créé son clone, un monstre à son effigie : Hitler, le maître de l'Allemagne. Mais il ne le contrôle plus. Le dieu de la guerre apparaît ainsi dans cette pièce comme un psychopathe, et le spectateur rentre dans sa folie. Marsarès se rend compte qu'Hitler devient toujours plus fort et plus fou, plus fort que le dieu de la guerre lui-même, puisque Hitler invente les camps de concentration et d'extermination, ignominie à laquelle Marsarès n'a jamais osé penser. C'est pourquoi Marsarès envisage de contrôler la France en attaquant par les côtes, en poussant les belligérants alliés à organiser le Débarquement en Normandie. Le dieu de la guerre assiste alors aux massacres, satisfait. Marsarès se recouvre alors de sang, du sang des victimes. Le dieu de la guerre se rend compte du malheur de la guerre. Il se sent triste, mais il se reprends très vite et affirme qu'il continue d'aimer à jouer à ça. 

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