Princesse Mononoké : critique par Jérémy
Le film Princesse Mononoké rejette le manichéisme, c'est-à-dire l'illusion selon laquelle il y aurait d'un côté des gentils et de l'autre des méchants. Le bien et le mal sont présents en chacun de nous. Toutes les personnes sont à la fois bonnes et mauvaises. Autre leçon : la haine n'engendre que la haine.
Ma scène préférée est quand Dame Eboshi veut tuer tous les sangliers. Dame Eboshi appelle ses troupes pour déclarer la guerre. Les sangliers arrivent mais les troupes de Dame Eboshi lancent des mines artisanales pour tuer les sangliers, mais les animaux qui survivent sont les loups de Princesse Mononoké. Alors Ashitaka voit de la fumée au loin, mais la fumée ne vient pas de la guerre déclarée par Dame Eboshi, elle vient des forges.
Ashitaka court au secours des prostituées (les filles) aux forges, car les samouraïs veulent profiter pendant le départ de Dame Eboshi et de sa troupe pour voler le fer des forges, pour se créer des armes. J'aime bien cette scène car il y a de l'action et de la guerre. Mais toutes les autres scènes font de ce film un chef-d'oeuvre.