Le Voyageur au-dessus d'une mer de nuages par Maximilien et Clément
Je me trouve seul au milieu d'un paysage aussi lumineux que sombre. Si le mot stupéfaction décrit ce que l'on peut ressentir quand on est plongé dans un paysage aussi merveilleux, tellement magique qu'on ne peut le décrire, alors je suis stupéfait devant tant de beauté. Je ressens de la peur et à la fois cette impression de dominer un monde immense alors que je ne suis que poussière.
Je rêve de m'envoler, de m'évader dans des cieux éternels. Je vois les rochers, lesm ontagnes abruptes et un horizon en contemplant le ciel, ami des nuages, ennemi de la terre. Je suis si haut, si seul dans un monde sans civilisation. Je suis si haut, si grand et si petit à la fois que lesn uages peuvenet m'emporter.
Je suis émerveillé devant un tel paysage, soulevé par les nuages. Tnat de couleurs froides, le gris, le blanc, le noir, font briller mon regard. J'ai l'impression que tout l'amour de Dieu se porte sur ces montagnes qui me tendent la main.