En l'an 400 par Antoine
En l'an 400, nous sommes en pleine guerre contre ces fluets de Carthaginois. C'est mon frère qui a tué le premier Carthaginois. Ces vêtements, il les lui a volés, parce qu'il les trouvait jolis. Mon commandant, Auguste V, est attisé par l'idée de tous les tuer. Contrairement à moi, qui reste caché au milieu de l'arène et qui ai peur. Mon chef est machiavélique, car il avait comme idée de réunir tous les citoyens de Carthage dans cette immense arène pour les divertir devant du théâtre et de leur porter une embuscade. C'est lors de l'enterrement funeste du héros de la pièce que nous avons agis, au moment où ils étaient tous concentrés par la tragédie mise en scène.
Dans cette guerre sans pitié, entre despotes qui se convoitent le pouvoir absolu, il y a des citoyens du même peuple qui pillent les maisons de leurs voisins, portant ainsi préjudice à la vie privée et à la propriété. Devant moi, totu d'un coup, je vois un soldat à l'allure cynique et qui me cherche en m'insultant. Je me suis énervé et j'ai donc engagé le combat. Quand j'ai engagé le combat, il a commencé à fuir et il m'a emmené dans un endroit rempli de soldats ennemis. Il m'avait préparé une embuscade !