Overlord : critique de Kimberley

Publié le par Professeur L

Au fond de chacun de nous se cachent beaucoup de choses, comme le montre "Overlord" ! 

Je me suis rendue ce mardi 11 février 2014 à la Manekine, à Pont Saint Maxence, où s'est produit le spectacle "Overlord", d'une durée de cinquante minutes. Ce spectacle a été mis en scène par Valery Dekowski, qui fait partie de la compagnie Amavada, ainsi que l'auteur de la pièce, Nicolas Sorel, et le comédien, Yohann Axell. Cette pièce de théâtre a été créée en 2012. C'est donc une création contemporaine. 

Cette pièce raconte l'histoire d'un homme satanique, machiavélique, du nom de Marsarès. Plus exactement, il s'agit du dieu de la guerre. Marsarès veut créer des guerres sanglantes et diaboliques. Face au discours de Pétain, Marsarès réagit très mal et décide de repdnre sa place. Ses intentions sont diaboliques, et il ne recule devant rien pour parvenir à créer une guerre affreuse, avec de nombreux morts. A la fin de la pièce, il décide de se rendre sur les lieux où se déroule la guerre et se rend compte des affreux dégâts qu'il a déclenchés. Il se remet alors en question. 

Ce spectacle nous apprend, ou plutôt nous fait prendre conscience, que chaque personne a au fond de lui un côté diabolique. Il nous dit aussi que Hitler était son chien. Il lui a appris à mordre et à être le porte-parole de Marsarès. 

Sur scène se trouve un fauteuil ne tenant plus debout, et un grand drap blanc où étaient projetées grâce à l'aide des techniciens des vidéos de jeux vidéos, de discours politiques, d'archives...On trouve également sur scène un frigo, dans lequel Marsarès saute à la fin pour disparaître et faire comprendre qu'il prépare la Guerre Froide. Des poteaux représentaient Staline, Hitler, Charles de Gaulle, Roosevelt, Churchill et Tchang Kaï Chek, que Marsarès place devant lui pendant le spectacle pour mettre en scène son plan de guerre. Les effets spéciaux sont le feu sur une planche, devant le drap où est projetée une vidéo figurant du sable. Puis à la fin, une explosion, pour dire qu'il a gagné la guerre, et du faux sang qu'il répand partout sur son corps. Ces effets spéciaux servent beaucoup car sinon le spectacle serait ennuyant. 

Le texte de Marsarès pourrait paraître en effet ennuyant, mais, bien au contraire, il nous fait beaucoup rire. Sur son costume beaucoup de ble ressortait. A chaque changement d'humeur de Marsarès, les lumières changent. Les effets spéciaux, les jeux de lumière, la musique, sont pour moi intéressants, car ils attirent l'oeil du spectateur et donnent envie pour ma part de regarder cette pièce. 

J'ai beaucoup accroché sur cette pièce, qui pour moi révèle le fond de chaque côté de notre personnalité, et les événements affreux de la guerre. 

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