L'usine des misérables par Paul et Kévin
Esclaves fatigués et enchaînés,
La douleur et la sueur de travailler,
Dans une usine mécanique et enfermée
Voilà ce qui arrive à des prisonniers.
Les machines enflammées grinçantes,
Telles des hurlements d'une vieille femme du fond du coeur,
Le feu limpide semblant une mer qui vous fera descendre vers les enfers
Travaillant sans cesse et dur,
Dans une usine sans fenêtres aux murs,
L'étouffement vrombissant de la forge
Comme de la braise engloutissant la gorge
Le moteur vrombit sans relâche,
Semblable à des outils souillés,
Utilisés par les travailleurs usés.
Les vieux moteurs engourdis,
Le feu attise la fumée grise et étouffante.
La misère des favelas et les aboiements des chiens apeurés
Attrisent les ouvriers.