Les usines de l'enfer par Mathilde et Pauline
Les usines de l'enfer
Sont aussi vrombissantes
Que la tourmente tonitruante
Les usines de l'enfer
Quand je rentre chez moi
Et que je m'assoie
La misère en moi
Se réchauffe comme un feu de bois.
Le travail est à l'acharnement
Pour les parents
Qui cherchent à gagner plus d'argent.
Les usines sont aussi laides que des monstres
Avec leurs yeux noirs qui me hantent
L'atmosphère est glauque.