Une lutte infinie par Ilhem et Solène
L'ombre des usines reflète la pauvreté,
La fumée sombre des usines
Les flammes sont leurs seules lumières
Ici, le jour est la nuit.
Se regardant dans le feu, la misère couve chez les ouvriers
Le bruit vrombissant des machines devient indécent pour les ouvriers
Les combats ténébreux des ouvriers
Le malheur et le désespoir deviennent un enfer
Les ouvriers mangeant sur un sol collant et visqueux
La lutte des maladies est infinie.
Les ouvriers mal payés travaillent pour leurs familles
Les monstres les retenant font d'eux des esclaves
La pollution sera toujours présente.
Ils vivront encore et toujours dans la pauvreté.