Overlord : critique de Jimmy
Ceci est une critique sur la pièce de Nicolas Sorel. Je vais tout d'abord vous la présenter, ensuite raconter son histoire ainsi que vous la présenter, ensuite raconter son histoire ainsi que vous présenter la mise en scène, les décors et les effets spéciaux, et enfin je vais donner mes impressions sur ce spectacle en indiquant ses qualités mais aussi ses défauts.
Dans ce spectacle, c'est l'histoire d'une personne, plus précisément d'un dieu, Marsarès, dieu de la guerre, qui a créé deux personnages, Hitler et Pétain. Il les a créés pour qu'ils s'affrontent dans la plus grande des guerres. C'est comme s'il vait créé un jeu vidéo. Mais Marsarès va se rendre compte bien vite qu'il ne contrôle plus rien, car Pétain pactise avec l'ennemi, et Hitler commet des actes que même le dieu de la guerre n'aurait pas pu imaginer dans ses pires cauchemars. En effet, Hitler a créé les camps d'extermination. Marsarès ne voulait pas des camps. Il voulait juste que les hommes se fassent la guerre. Du coup, Marsarès s'inquiète et réfléchit à une solution. Il décide d'aller sur le terrain. Il découvre alors que Hitler est devenu fou. Tout se passe comme si Hitler n'obéissait plus à son père Marsarès.
Cette pièce de théâtre nous apprend que la guerre n'est pas un jeu mais une porte qui donne directement sur la mort. Le texte de cette pièce de théâtre est écrite principalement en alexandrins. Il y a des rimes. Le comédien était représenté comme un adolescent qui reste enfermé dans sa chambre. Sa pièce était constituée d'un vieux fauteuil où il était souvent avachi, d'une guitare électrrique avec laquelle il chantait, d'un frigo dans lequel le comédien prenait des bouteilles et une grande toile qui lui servait d'écran de télévision et d'ordinateur. Sur son écran, soit Marsarès regardait les discours ou les batailles dans le monde, soit des films de guerre, soit il jouait à des jeux vidéos de guerre comme Call of Duty.
A un moment de la pièce, Marsarès utilise des barres de métal pour représenter des personnes. Elles étaient toutes différentes. Par exemple, le plus grand représentait Charles de Gaulle. Ces barres étaient représentées comme des marionnettes. Elles se faisaient contrôler par Marsarès. Dans ce spectacle, il y a eu aussi des effets spéciaux : du faux sang, une grosse explosion, de la fumée et du feu. Le sang représentait la cruauté de la guerre, l'explosion représentait la bombe atomique, la fumée représentait les obus, les tirs et les gaz asphyxiants, et le feu représentait la colère de Marsarès.
Marsarès se comporte comme un enfant. Il est infantile, car comme il ne contrôle plus rien, il fait un caprice. C'est comme un adolescent qui perd à un jeu vidéo.
A certains moments, quand le comédien parlait, on ne comprenait pas trop ce qu'il disait, ou alors quand on devait taper des mains, le comédien parlait et on ne l'entendait pas. C'était un défaut du spectacle. Le comédien sait jouer de la musique et il a pu en faire dans son spectacle. C'était une bonne qualité qui améliore l'histoire.
En conclusion, le spectacle était très intéressant pour le texte d'un point de vue stylistique et, bien sûr, pour la mise en scène, même s'il y avait quelques petits défauts, et le jeu du comédien était assez bon. Pour moi, cette pièce de théâtre est plus positive que négative.