Ici, sous le grand toit de l'entrepôt par Quentin et Jules
Ici, sous le grand toit de l'entrepôt
Dans les flammes de l'enfer, brûlent les métaux
Une chaleur étouffante m'empêche de respirer
En marchant à côté des aciers enflammés
Je risque fortement de me brûler
Voici les marteaux, les métaux qui résonnent très tôt
Dans cette usine où il fait trop chaud
Une jeune femme me rapporte de l'eau
Dans ce brouillard, inespérée.
Je ne vois que de la fumée
A peine le temps de manger
Que je dois repartir travailler
J'en ai mal au coeur
De ce travail de malheur !