Afrique mystique, Europe aimée selon Senghor par Arij

Publié le par Professeur L

Dans ce texte, l'auteur est nostalgique en repensant à son enfance : « paradis mon enfance africaine ». Il voit l'Afrique comme un très beau pays : « la rivière bleue », « par les prés frais ». Il dit que l'Afrique est un pays magique : « ton eau mystique ».

Il montre qu'il aime deux femmes : Soukeïna (« un baiser de toi Soukeïna ») et Isabelle (« un baiser de toi Isabelle »). Plus tard, nous apprenons que des deux femmes sont en réalité deux continents. Isabelle est l'Europe et Soukeïna est l'Afrique : « ces deux mondes antagonistes ». En utilisant un oxymore (éprouver deux choses opposées en même temps, le plaisir et la souffrance), il montre qu'il ne veut pas choisir entre ces deux continents : « délicieusement écartelé ».

Ce texte est un poème qui utilise le lyrisme au service d'un message engagé qui défend le métissage en utilisant le swing : « swing le swing oui le swing ! ». Le swing représente le métissage car ce sont des Américains noirs qui ont inventé cette musique en mélangeant de la musique européenne et africaine.

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